Sous ses airs de gaudriole en terrain miné, « Tel Aviv on Fire » est avant tout un grand film humaniste qui tente de nous reconnecter avec l’autre et avec nous-mêmes. Et le pire, c’est que ça fonctionne. A ne pas manquer.
5/5
LE MONDE
Partagé entre la reconstitution kitsch du feuilleton […] et les aléas ineptes qui entourent un tournage complètement fauché, le film est un éloge du bricolage artistique et du romantisme populaire qui rassemble dans une même passion, des deux côtés de la frontière, les femmes palestiniennes et israéliennes.
4/5
LE PARISIEN
Sur un sujet brûlant, « Tel Aviv on fire » propose une comédie délicieusement caustique et truffée de doubles sens politiques.
4/5
Prix de la meilleure musique de films au festival CINEMED de MONTPELLIER en octobre 2018.
TEL AVIV ON FIRE
Salam, 30 ans, vit à Jérusalem. Il est Palestinien et stagiaire sur le tournage de la série arabe à succès « Tel Aviv on Fire ! » Tous les matins, il traverse le même check-point pour aller travailler à Ramallah.
Un jour, Salam se fait arrêter par un officier israélien Assi, fan de la série, et pour s’en sortir, il prétend en être le scénariste. Pris à son propre piège, Salam va se voir imposer par Assi un nouveau scénario. Evidemment, rien ne se passera comme prévu.